On a un faible pour les mots

On a un faible pour les mots.
Pas juste les beaux. Les tordus, les rares, les délaissés aussi.

Ceux qu’on trouve sur des sites pour joueurs de Scrabble, grâce aux générateurs d’anagrammes, dans des glossaires oubliés, ou au fin fond du TLFi, du CNRTL ou du CRISCO.

Ceux qui donnent des frissons avec leur double voyelle, leur cédille qui altère ou ceux qui entrent dans la catégorie star des intraduisibles dans d’autres langues (poke Jayus).

Créer un nom, ce n’est pas mettre un mot sur un projet.
C’est donner une direction. Un tempo. Créer un terrain de jeu.
Nommer, c’est donner vie. C’est personnifier.

Chez CLAMEUR (un mot qu’on adore), on a fait naître Blissim, Iamco, Savoir pour faire, Lasqo (et bien d’autres…) et on travaille en ce moment avec la filiale française d’un groupe international sur une nouvelle création…

On a connu l’époque My*quelquechose*, la vague des intemporels « Maison X » & « Atelier Y », les noms japonisants pour faire “tech mais friendly”, les prénoms détournés comme Alan, Emma ou Uber, ou encore les mots écrits sans voyelles comme s’il y avait pénurie mondiale.

Aujourd’hui, on voit revenir l’envie de douceur, de littéral, d’imagé, de franc du collier.
Des noms plus sensoriels, moins hybrides, plus translingues.
Et surtout, des noms qui ne vivent pas seuls, mais en lien avec une identité graphique, une voix, une ligne édito forte.

Notre conviction : un bon naming ne se pense pas seul.
Il dialogue avec une identité visuelle, une ligne éditoriale, une ambition de marque.

C’est pour ça qu’on n’est pas seulement un cabinet de naming.
Mais une agence qui pense les mots, les images et les récits ; ensemble.
Disons que CLAMEUR est une agence de branding éditorial.

 
jayus